A l’approche des fêtes de novembre, sacrées chez les celtes, l’association a voulu dégager les deux tombes restantes de l’enclos paroissial, celle de l’Académicien Charles Le Goffic et de l’Abbé Prigent envahies par le lierre.
avant travaux
Après travaux
Autre entretien
En 1872 l’abbé Bouget recteur de Trégastel se lance dans la construction d’un calvaire monumental qui sera orné de niches, le long d’un chemin de croix original dominant une chapelle. Depuis cette date, plusieurs statues n’ont pas résisté à l’épreuve du temps. Le Christ au sommet est aujourd’hui sur un des pilier de la chapelle Sainte-Anne, la tête de la statue de Saint-Laurent été recollée sur place par l’Association et une des deux statues en bois a été retrouvée dans la sacristie de l’église. Son état nécessitait un dépoussiérage assuré également par l’Association en accord avec les autorités en charge de l’église. Cette statue du Sacré cœur de Jésus s’inscrit dans le culte récent de 1856 qui a vu surgir en Europe plusieurs églises du Sacré Cœur dont celle de Montmartre. Il était donc logique que l’Abbé Bouget lui dédit également une station du chemin de croix, construit à cette époque. Après dépoussièrage on remarque que la statue était polychrome, Jésus en manteau rouge.
La statue actuellement dans l’église sous la protection de Sainte-Marguerite